TheChoupi06

TheChoupi06

La médecine qui ne « traite » pas le diabète… mais le guérit !

Chère lectrice, cher lecteur,

Lorsque nous nous foulons la cheville, il ne nous viendrait pas à l’idée de marcher jusqu’à la fin de nos jours avec une béquille.

Pourtant, c’est bien selon cette logique que la médecine occidentale « traite » le diabète.

Au lieu de soigner le mal en profondeur, de réapprendre à notre corps à fonctionner normalement, en douceur, elle nous propose une béquille pour toujours : les médicaments.

Sans doute, en procédant ainsi, cherche-t-on à nous soulager. Mais en se contentant de traiter les symptômes du diabète, on ne s’attaque pas à ses causes.

La médecine occidentale aborde le diabète comme une trop grande abondance de glucose dans le sang et un déficit de la production d’insuline par le pancréas. Point. Or, la médecine chinoise qui a identifié cette maladie depuis 2500 ans nous enseigne que cette vision est juste et nécessaire… mais pas suffisante !

Autrement dit, notre médecine a une approche fataliste du diabète, presque myope !

Voilà pourquoi le dossier de novembre des Secrets de la médecine chinoise fonctionne comme une paire de lunettes qui permet de retrouver une vision juste de ce qu’est le diabète. Vous allez comprendre pourquoi il ne faut pas le considérer comme une « défaillance » irrémédiable de votre santé, mais comme l’expression d’un désordre plus globalque vous pouvez corriger.

Car, oui, vous pouvez agir ! Et ce dossier, que nous nous apprêtons à mettre sous presse, vous expliquera pourquoi etcomment vous pouvez lutter contre le diabète sans avoir recours, toute votre vie, à des béquilles-médicaments qui peuvent avoir des effets secondaires regrettables.

Les sources du diabète dans la médecine chinoise

Le Xiao Ke (« diabète » en chinois) est mentionné dans des textes chinois remontant au Ve siècle avant notre ère. Et, comme dans l’ensemble de la médecine chinoise, cette maladie n’est pas le résultat d’une cause unique.

Il s’agit plutôt d’une convergence de troubles et de dysfonctionnements physiques et psychiques qu’il faut identifier en compagnie du patient. Cette « enquête » va conditionner l’efficacité du traitement.

Pour le dire autrement, la médecine chinoise ne se focalise pas sur les effets du diabète, mais remonte à ses racines pour mieux l’éradiquer.

Fondamentalement, le diabète est dû à un Vide de Yin [1] qui favorise une Chaleur-Sécheresse qui « assèche » les liquides organiques. Celle-ci est générée ou favorisée par :

  • Une intempérance alimentaire (surconsommation d’aliments gras, sucrés, d’alcool, de laitages…)

  • Un trouble des émotions (trop grande exposition aux situations générant colère, frustrations affectives ou sexuelles, qui vont agresser des organes comme le foie et l’estomac)

  • Un épuisement du Jing des Reins dû à des excès sexuels (éjaculation chez les hommes, orgasmes chez les femmes) et à un surmenage physique (exercice physique intense épuisant l’organisme).

Notre physiologie générale, ainsi dégradée et asséchée par nos émotions, notre alimentation, notre environnement et parfois notre sexualité, constitue un terrain favorable à l’apparition d’un diabète de type II.

Vous pensiez que tous les diabètes, ayant les mêmes effets, ont les mêmes causes ?

Pas du tout ! La médecine chinoise distingue trois localisations anatomiques de la Chaleur-Sécheresse qui vont lui permettre d’affiner le diagnostic :

  • Le poumon, « source supérieure de l’eau», est victime du Shang Xiao, ou diabète supérieur, provoquant soif excessive (polydipsie) et mictions fréquentes (pollakiurie)

  • L’estomac, lorsqu’il consume trop vite la nourriture ingérée et se révèle dès lors insatiable, est touché par leZhong Xiao, ou diabète moyen, qui se manifeste par une faim quasi constante, de la constipation et des selles solides

  • Les reins, « source inférieure de l’eau», lorsqu’ils sont la cible du Xia Xiao, ou diabète moyen, engendrent des urines fréquentes et sucrées, et une fatigue persistante, signe de l’altération du Jing.

Cette localisation constitue la « source » anatomique du mal, le foyer du diabète qui se répand ensuite aux trois organes et à l’ensemble du corps.

C’est donc cette source du mal que le soin « visera » en priorité. Un diabétique sera d’abord traité au poumon quand, chez un autre, ce sont les reins qui seront soignés en premier.

On le voit, la médecine chinoise aborde de façon beaucoup plus approfondie et personnalisée les causes d’un diabète de type II. Elle ne se cantonne pas à ses aspects biochimiques.

Aussi ce dossier des Secrets de la médecine chinoise vous donne-t-il trois bonnes nouvelles qui vont changer votre attitude face à cette maladie :

  • Elle n’est pas irréversible

  • Sa guérison ne recourt à aucun médicament de synthèse

  • Vous avez les moyens de vous soigner

Les cinq piliers de la lutte contre le diabète

Un soin durable, en médecine chinoise, est conditionné par un échange approfondi avec le thérapeute.

La maladie est plus compliquée qu’une simple réaction physiologique, et notre guérison plus complexe qu’une prescription de médicaments donnée après quelques minutes d’entretien !

Mais, ainsi, elle est plus durable.

Et surtout la condition de la guérison est notre volonté de changement.

En fonction de l’organe d’abord ciblé par la maladie, le médecin chinois va adapter un protocole curatif dont les ressources principales sont au nombre de cinq :

  • Un régime alimentaire adapté. On éliminera, partiellement ou totalement, de notre alimentation les aliments favorisant le diabète: les céréales (blé, maïs, riz…), les légumineuses (haricots blancs, rouges, noirs…), la viande rouge. À l’inverse, on favorisera quotidiennement le chou rave, le céleri branche, les oignons, les épinards, etc.

  • Changer son mode de vie en écartant autant que possible les sources de stress (professionnel, amoureux, familial) mais également ce qui génère lennui dans notre quotidien.

  • Se livrer à l’introspection thérapeutique: réfléchir à ce que nous sommes, ce que nous voudrions être et ce qui y fait obstacle.

  • S’appuyer sur la pharmacopée et la diététique chinoise, à l’aide de décoctions, d’infusions de simples ingrédients ou de formules; entre autres la « décoction du Tigre blanc », et la « pilule pour le Qi des Reins ».

  • Le recours à l’acupuncture, en particulier si l’expression du diabète se concentre sur le poumon, l’estomac ou les reins.

On peut ajouter à ces mesures la pratique du Qi gong, mais modérée : en effet, l’échauffement du corps, qui fatigue l’organisme, est contre-indiqué dans le traitement du diabète.

Le dossier de novembre des Secrets de la médecine chinoise vous propose une cure de quatre mois pour adapter votre alimentation à vos besoins caloriques.

Vous y trouverez également la liste des signes qui témoignent de l’apparition du diabète, ainsi que les aliments dont la consommation, selon une préparation précise, permet de prévenir et guérir la maladie.

Vous l’avez compris, vous n’êtes qu’au début du chemin. Derrière le diabète, c’est une étonnante introspection qui commence. Bon voyage…

Nous mettons sous presse cette nouvelle édition des Secrets de la Médecine Chinoise vendredi 16, à la première heure. Vous avez donc jusqu’au jeudi 15 octobre minuit pour vous inscrire et recevoir votre exemplaire, chez vous dans votre boite à lettres. Après il sera trop tard.

Cliquez ici pour en savoir plus sur Les Secrets de la Médecine Chinoise 

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis
****************************** 

Si vous n'êtes pas encore abonné à La Lettre Santé Nature Innovation et que vous souhaitez vous aussi la recevoir gratuitement, inscrivez-vous ici

****************************** 

Pour être sûr de bien recevoir La Lettre Santé Nature Innovation sans qu'elle se perde dans votre boîte de messagerie électronique, visitez la page suivante

****************************** 

Si vous pensez que ce message pourrait intéresser un ami ou un proche, n'hésitez pas à le lui transférer par email (utilisez la fonction "transférer ce message" dans votre boîte de messagerie électronique). Pour partager cet article, vous pouvez utiliser l'un des réseaux sociaux suivants : 

Partagez sur Twitter Partagez sur Facebook Partagez sur Pinterest Partagez sur Google + Partagez sur LinkedIn


****************************** 

[1] Etude Global Burden of Disease Study 2013 

****************************** 

Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L'éditeur n'est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L'éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s'interdit formellement d'entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie. 

La Lettre Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions). 
Pour toute question, rendez-vous ici

Service courrier : Sercogest, 60 avenue du Général de Gaulle, 92800 Puteaux - France



11/11/2015

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 2434 autres membres